2 anecdote, mythologie, fiction, mythe, légende, mensonge, invention, folklore, conte, affabulation, fantaisie. Il en va tout autrement de Marie de France (1154-1189), qui publie un recueil de fables sous le titre Ysopet. Elle se caractérise souvent par un récit fictif de composition naïve et allégorique mettant en scène des animaux qui parlent, des êtres humains ou d’autres entités à l'aspect animal mais personnifiés . « La conduite de la vie humaine »)[26]. Dans les fables à deux personnages, « la fable connaît toujours un conflit, c.-à-d. un antagonisme entre les acteurs, basé sur des intérêts divergents[65]». ») Toutefois, ils ne possèdent pas de morale explicite[8]. Être la fable du peuple, la fable de tout le monde, la fable de la ville, Être le sujet des propos, des risées populaires. fable n noun: Refers to person, place, thing, quality, etc. C'est en ce sens que, dans la Poétique, Aristote désigne la « fable » comme un des six éléments qui constituent une tragédie, conjointement avec les mœurs, le langage, la pensée, l'appareil scénique et la mélopée[4]. En savoir plus. D'entrée de jeu, le lecteur se trouve donc en présence d'une situation conflictuelle, qui va constituer le moteur du récit et en nouer l'intrigue[64]. Il se prend, dans un sens collectif, pour Toutes les fables de l'antiquité païenne. Apologue, récit allégorique d'où l'on tire une moralité.. Ensemble des récits mythologiques de l'Antiquité.. Récit, propos mensonger, histoire, allégation inventée... Bertolt Brecht. Selon Houdar de La Motte, la fable s'organise à partir de la morale que l'on veut démontrer : « pour faire un bon apologue, il faut d'abord se proposer une vérité morale, la cacher sous l'allégorie d'une image qui ne pèche ni contre la justesse, ni contre l'unité, ni contre la nature; amener ensuite des acteurs que l'on fera parler dans un style familier mais élégant, simple mais ingénieux, animé de ce qu'il y a de plus riant et de plus gracieux, en distinguant bien les nuances du riant et du gracieux, du naturel et du naïf[61]. Pour bien comprendre certaines fables, il faut parfois posséder des connaissances sur le contexte dans lequel elles ont été écrites. Le premier recueil de fables de La Fontaine est illustré par François Chauveau (La Cigale et la Fourmi. Même si certaines fables ont une portée éthique, comme chez Hésiode, la plupart sont des histoires de mise en garde, enseignant comment survivre dans le monde hostile des sociétés traditionnelles, où le pouvoir des puissants s'exerce sans contrepoids et où l'on risque toujours d'avoir affaire à plus fort ou plus habile que soi. Dès l'apparition de l'imprimerie, les recueils de fables sont accompagnés d'illustrations, notamment chez Steinhowel (1476), Corrozet (1542), Nevelet (1610). Horace propose une remarquable adaptation du Rat de ville et du Rat des champs (Satires, II, 6)[15] que certains critiques estiment supérieure à la version de Jean de La Fontaine. En 1313, à la demande de la reine Jeanne de Navarre, Raymond de Béziers en publie une autre édition, qui reprend pour l'essentiel celle de Jean de Capoue tout en y intégrant des données de la version espagnole[27]. La dernière modification de cette page a été faite le 1 avril 2021 à 17:35. La vie d'Ésope nous est connue grâce à un récit laissé par Maxime Planude, érudit byzantin du XIIIe siècle, qui reprenait probablement un texte grec du Ier siècle. Les autres sont tirées d'Ésope. » Or, il s'agit là d'un précepte aujourd’hui typiquement associé au philosophe plutôt qu'au fabuliste. C'est La Fontaine qui a traduit en français les fables d’Ésope. Dans ces histoires inspirées d'Ysengrinus, œuvre latine du poète flamand Nivard de Gand, la lutte du goupil contre le loup sert de prétexte à une vigoureuse satire de la société féodale et de ses injustices. Consulter aussi: affabuler, affûtable, affaler, affabilité. Le Coran le mentionne comme étant un sage[30]. J.-C. Le poète et dramaturge Jean Anouilh publie Fables en 1962. Ce mécanisme d'interprétation serait une caractéristique générique de la fable, qui « a érigé en système la capacité que possède tout récit de se terminer par une évaluation[87]». On a souvent mis en doute la réalité historique de la prodigieuse destinée de cet ancien esclave nubien bègue et difforme qui réussit à se faire affranchir et en vient à conseiller les rois grâce à son habileté à résoudre des énigmes. Il y ajoute par la suite un second recueil de 100 fables, qu'il publie avec des fables de Lorenzo Valla, Érasme, Aulu-Gelle et quelques autres. Ambrose Bierce utilise la fable à des fins de satire politique aux États-Unis. À titre d'exemple : « C'est la fête de mariage de Papa et de Maman. v.intr. Verb []. Une étude des réponses à ces récits permettrait de « déceler les troubles affectifs causés chez l'enfant par une situation familiale anormale[59]». La relative désaffection du public français à l'égard de la fable coïncide avec la «montée » du roman[49]. […] Ainsi donc la morale de la première fable citée (, « Ces histoires d'animaux qui parlent, qui se font des leçons, qui se moquent les uns des autres, qui sont égoïstes, railleurs, sans amitié, plus méchants que nous, me soulevaient le cœur. Socrate se servait sans doute du nom d'Ésope pour faire passer ses préceptes au moyen d'apologues[13]. Dictionnaire de la Fable. . ». Pendant la fête, l'enfant se lève et va tout seul au fond du jardin. What does fabel mean? Le grand poète persan Djalâl ad-Dîn Rûmî (1207-1273), qui a étudié les fables d'Ésope dans sa jeunesse, en fait une adaptation originale dans son livre Masnavî-ye-Masnavî. Ce sont notamment L'Ours et l'Amateur des jardins, La Laitière et le Pot au lait, Le Chien qui lâche sa proie pour l'ombre, La Tortue et les deux Canards, Les Poissons et le Cormoran, et Le Loup et le Chasseur[29]. was bedeutet Fabel. Les fables de Florian sont parfois jugées mieux adaptées aux enfants que celles de La Fontaine parce que le message en est moins ambigu et les oppositions entre les personnages moins tranchées : « il proposait aux dames mignonnes et fardées, en façon de fables, de jolies énigmes, et leur arrangeait un bouquet de moralités fades; il peignait d'après l' Émile la tendresse conjugale, les leçons maternelles, le devoir des rois, l'éducation des princes[47]. Les fables sont l'histoire des temps grossiers, Voltaire, Mœurs, CXIX. Dans cette fable animalière, Orwell propose une satire de la Révolution russe et une critique du stalinisme. Illustrée, la fable parle directement au lecteur et le séduit, particulièrement chez les jeunes. C'est le cas, par exemple, dans Le Voyage de Florian, où il faut apercevoir le rapport entre les moments de la vie humaine et ceux d'un voyage qui commence à l'aube et s'achève le soir. Aucun ouvrage originaire de l'Inde n'a été aussi répandu[23]. » Diogène Laërce attribue même une fable à Socrate, laquelle commençait ainsi : « Un jour, Ésope dit aux habitants de Corinthe qu'on ne doit pas soumettre la vertu au jugement du populaire. Par exemple, alors que dans la tradition ésopique, la morale de la fable La cigale et les fourmis indique clairement que la cigale est à blâmer pour son insouciance, la leçon est loin d'être aussi claire dans l'adaptation qu'en a faite La Fontaine, en raison des jeux sur le signifiant (rejets, sonorités, rimes, rythmes)[69],[70]. La fable est une forme particulière d’apologue, qui désigne tout récit à portée moralisante. Les fables de La Fontaine sont plutôt la philosophie dure, froide et égoïste d'un vieillard, que la philosophie aimante, généreuse, naïve et bonne d'un enfant : c'est du fiel, ce n'est pas du lait pour les lèvres et pour les cœurs de cet âge, « une structure narrative spécifique qui impose d'elle-même une interprétation, « Si le lion n'agissait qu'en roi, s'il n'avait pas pour Louvre « un antre, vrai charnier », si, lorsqu'il établit son budget, il ne comptait pas sur ses ongles, la fable serait froide et sans vie. Le poète Babrius, un Romain hellénisé contemporain de Phèdre, récrit en grec les fables ésopiques et les met en vers. Antoine Houdar de La Motte (1672-1731) explore de son côté une poétique des fables qui rompt délibérément avec les auteurs antiques, considérant que les opinions communes sont souvent infondées et que la connaissance a évolué depuis Ésope et Phèdre[45]. affable. La leçon à en tirer n'est pas tant de se méfier des autres que de soi-même et de la partie animale de son âme[31]. Après n’avoir désigné que la seule gravure, le sens du mot « emblème » va s’étendre pour s’appliquer également au poème qui lui sert de légende ou de commentaire. Dans un esprit que l’Encyclopedia Britannica rattache directement à La Fontaine, Pierre Gamarra publie La Mandarine et le Mandarin (1970), qui contient des fables « d'une drôlerie remarquable et d'une grande virtuosité technique[58]». Le Moyen Âge poursuit la tradition avec les fabliaux et les isopets (petit Ésope). fable. Avec un nom féminin, l'adjectif s'accorde. Au sens premier, le mot « fable » (fabula,ae : la légende) désigne l'histoire ou enchaînement d'actions qui est à la base d'un récit imaginaire, quel qu'il soit. La fable est un texte en vers ou en prose qui contient un récit et une moralité (parfois implicite). fable [feminine] (Traduction de fable depuis le Dictionnaire GLOBAL Anglais-Français © 2016 K Dictionaries Ltd) Et s'il aime, en tous lieux sa faiblesse exposée Sert aux jeunes beautés de fable et de risée (Chénier, Élégies, 1794, p. 135). Le pic tenait le premier rang dans les auspices ; son histoire, ou plutôt sa fable, mêlée à la mythologie des anciens héros du Latium, présente un être mystérieux et augural, Buffon, Ois. La fable a une très longue histoire en Chine et existait déjà sous forme orale trois mille ans avant notre ère. » Taine, pour sa part, compare la morale au CQFD des théorèmes de géométrie[73]. Au XVIIe siècle, la fable revient à la mode et les recueils se multiplient. Publié en 1945, cet apologue décrit une ferme dans laquelle les animaux se révoltent puis prennent le pouvoir et chassent les hommes, à la suite de leur négligence à leur endroit. Franz Kafka (1883-1924) a laissé dans ses brouillons quelques fables, telle Petite fable, dans laquelle une souris poursuivie par un chat voit les murs d'un couloir se rétrécir inexorablement devant elle. Les Anciens distinguaient en effet entre la fable ésopique, qui met en scène des animaux ou des objets inanimés, et la fable libyenne, où des hommes ont affaire à des animaux ou s'entretiennent avec eux[11]. Son recueil compte une centaine de fables dans lesquelles on sent parfois l’inspiration de l’Anglais John Gay ou de l’Espagnol Tomás de Iriarte. La fable classique raconte une seule et unique action[62], qui repose sur des jeux d'opposition très nets entre deux personnages[63], tout comme dans les récits mythiques analysés par Claude Lévi-Strauss. Information and translations of fabel in the most comprehensive dictionary definitions resource on the web. Elle est, le plus souvent, écrite en vers. La fable cède ici la place à une comédie animale où tout se tient. La bande dessinée s'est aussi intéressée à la fable, soit pour illustrer des recueils classiques et leur donner une nouvelle vie comme chez Anouk[89], soit pour la parodier comme l'a fait Gotlib dans la Rubrique-à-brac (1970). C'est ce qui en a fait un genre privilégié pour servir à « l'éducation des peuples », ainsi que le montre son histoire ci-dessus. — Nuit et jour à tout venant / Je chantais ne vous déplaise »). Ce recueil, perdu, a donné naissance à d’innombrables versions. C'est du fiel. Il signifie « exprimer des pensées par des paroles » —ce qui est comparable au sens premier du mot fable en latin et en grec. Ainsi, dans Le Renard et la Cigogne, la morale ne fait que dégager la leçon du récit et en tirer une portée générale : Un second niveau allégorique apparaît lorsque chacun des personnages du récit, ou chacun des éléments de l'action, doit être interprété à un niveau métaphorique pour que le sens du récit apparaisse. Ce sont ces deux ouvrages que connaîtra La Fontaine et qui inspireront plusieurs fables de son deuxième recueil, ainsi qu'il le reconnaît dans l'introduction de ce recueil. Tout comme pour Ésope, le nom de Locman semble avoir fonctionné dans le monde arabe comme un « aimant générique », agglutinant les récits du même genre qui circulaient dans la tradition orale. La fable est donc une forme d'allégorie, car l'histoire imagée qui y est racontée est mise en relation avec une morale abstraite, donnant une portée générale à ce qui n'était en apparence qu'une anecdote. Elle est toujours active dans les pays où la culture orale demeure vivace et proche de la nature, comme c'est le cas notamment en Afrique ou dans les sociétés rurales. À la différence de ses prédécesseurs, La Fontaine joue souvent sur l'ambiguïté pour donner plus de piquant à ses fables. Ce schéma est désigné comme « un double renversement[66] ». bles v.tr. On trouve aussi des fables en prose intégrées à des contes, des nouvelles ou des satires. Le Livre de Pilpay est introduit en Perse par le roi sassanide Khosro Ier (531-579) qui, ayant appris l'existence en Inde d'un ouvrage contenant la source de toute formation intellectuelle, avait donné mission à son médecin de se le procurer. Une allégorie consiste dans la juxtaposition d'un sens apparent et d'un sens caché[86]. Des tablettes provenant de bibliothèques scolaires de l’époque sumérienne racontent brièvement des histoires de renard flatteur, de chien maladroit (« Le chien du forgeron, n’ayant pu renverser l’enclume, renversa le pot d’eau ») ou de moustique présomptueux (« Un moustique s’étant posé sur le dos d’un éléphant lui demanda si son poids lui était supportable ou s’il devrait plutôt s’envoler »). Bien des fables se présentent encore comme des réponses à un problème ou comme le déchiffrement d'une énigme. » Cette portée didactique des fables peut expliquer que les fables ont circulé et ont été reprises d'une culture à une autre. Elle se caractérise souvent par un récit fictif de composition naïve et allégorique mettant en scène des animaux qui parlent, des êtres humains ou d’autres entités à l'aspect animal mais personnifiés[1]. Elle compte plus de 500 fables, toutes en prose, parmi lesquelles figurent les plus populaires, tels Le Corbeau et le Renard, Le lièvre et la Tortue, Le Bûcheron et la Mort, Le Vent et le Soleil, etc. Il se rencontre dans des dizaines de fables, souvent les plus populaires, tels Le Corbeau et le Renard, Le Lion et le Moucheron, Le Lion et le Rat, La Colombe et la Fourmi, Le Coq et le Renard, Le Cheval et le Loup, Le Cheval et l'Âne, Les Deux Coqs, Le Loup et le Renard, Le Chat et le Renard, Le Trésor et les Deux Hommes, Le Lièvre et la Tortue, Le Renard et la Cigogne[67]. « Sunt autem fabulae aut Aesopicae, aut Libysticae. L'un se vante de sa force, de ses habiletés ou de son importance : il est en position haute ; l'autre apparaît comme faible ou dépourvu de ressources : il occupe la position basse. En France, Guillaume Guéroult semble s’être spécialisé dans ce genre avec le Blason des Oyseaux (1551), les Hymnes du Temps et de ses parties (1560) et les Figures de la Bible (1564), toujours composés sur le modèle d’une gravure accompagnée d’une courte pièce de vers. Le Talmud contient plusieurs enseignements illustrés de fables de Renard, fables qui sont passées dans la littérature occidentale par les compilations chrétiennes d'"exemples" servant à la composition des sermons[9]. On fait apprendre les fables de La Fontaine à tous les enfants, et il n'y en a pas un seul qui les entende. Une fable est un court récit en vers ou en prose qui vise à donner de façon plaisante une leçon de vie. Cette section ne concerne donc que les fables les plus typiques. Dans beaucoup de fables les animaux sont personnifiés (présentés comme des êtres humains) et ont ainsi une valeur symbolique. Même Jupiter ne peut s'empêcher d'accomplir un acte réflexe (L'Aigle et l'Escarbot). On connaît de lui deux recueils, qui totalisent 123 fables. Comme elle présente des actions simples accomplies par des personnages très typés, la fable se prête bien à l'illustration et celle-ci renforce l'attrait du récit tout en déclenchant d'emblée chez le lecteur un processus d'interprétation. Le recueil de La Fontaine est probablement l'œuvre la plus illustrée de la littérature française[réf. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La colombe représente l'attachement amoureux, la fourmi l'ardeur au travail, le renard la ruse, l'âne la stupidité, l'éléphant la force, le paon la vanité, le lion la puissance, l'agneau l'innocence, etc. « Pour le fabuliste, il y a d'abord une moralité et ensuite seulement l'histoire qu'il imagine à titre de démonstration imagée, pour illustrer la maxime, le précepte ou la thèse que l'auteur cherche par ce moyen à rendre plus frappants, « On fait apprendre les fables de la Fontaine à tous les enfants, et il n’y en a pas un seul qui les entende. < Fabel , Fabeln > die Fabel SUBST lit. Dans cette veine ésopique dévoyée, la morale est absente et les certitudes ont fait place à un sentiment d'incertitude généralisée[54]. Celle-ci est parfois implicite, le lecteur devant la dégager lui-même. L'invention de la fable est attribuée à Ésope, un esclave grec du VIe siècle av. Alors que la fable est souvent définie comme un « petit récit, le plus souvent en vers, d'où l'on tire une moralité[74] », Claude Simon, rejoignant Houdar de La Motte, inverse le processus dans la création : « Pour le fabuliste, il y a d'abord une moralité et ensuite seulement l'histoire qu'il imagine à titre de démonstration imagée, pour illustrer la maxime, le précepte ou la thèse que l'auteur cherche par ce moyen à rendre plus frappants[75] ». Elle se distingue de la parabole, qui met en scène des êtres humains et laisse le sens ouvert à la discussion[5]. Pour référer au genre, l'usage se répand très tôt de désigner les fables comme des aesopica (littéralement : « propos d'Ésope »), ce qui se traduira au Moyen Âge par ysopets ou isopets. Récit, propos mensonger, histoire, allégation inventée de toutes pièces. La thématique de la fable prend une singulière expansion avec le Roman de Renart, collection de récits dus à des clercs anonymes du XIIe siècle. Le mot fable provient du verbe latin fari qui signifie « parler », lequel a donné le mot fabula « propos, conversation ». prêter à rire, être la risée d'un groupe : Les fables de La Fontaine sont plutôt la philosophie dure, froide et égoïste d'un vieillard que la philosophie aimante, généreuse, naïve et bonne d'un enfant. Ils s'aiment beaucoup et ils ont fait une belle fête. Les deux parties qui la composent sont donc le récit et la morale. Ensemble des récits mythologiques de l'Antiquité. La fable est un court récit allégorique, généralement en vers, qui se conclut par une sentence morale, appelée moralité. Leur célébrité s'est très vite étendue au-delà des frontières. ), avec la différence que deux chacals, Karataka et Damanaka, y jouent le rôle du renard européen, tout en se comportant parfois sottement[20]. Une fable est un court récit écrit plutôt en vers qu’en prose et ayant un but didactique (qui cherche à instruire les lecteurs).